Salsepareille

Les potions de Salsepareille sont réalisées artisanalement par Gaëlle, cueilleuse de plantes sauvage dans le Garlaban à Aubagne.

Parce qu’il est important de prendre soin de sa santé

Parce que se faire du bien se conjugue au singulier et au pluriel

Parce que les plantes sont nos alliées depuis qu’il y a vie sur terre

Parce que l’un des plus vieux métiers du monde, celui de cueilleuse de plantes sauvages, se veut de collaborer à ce bien-être.

C’est pour toutes ces bonnes raisons qu’est née LA POTION.

Un Sirop aux Plantes Sauvages qui soutient votre immunité et votre quête de bien-être au naturel, et une cueilleuse, moi, Gaëlle, qui sélectionne les meilleures plantes dans la nature, au meilleur moment, pour vous apporter toutes les propriétés bienfaisantes de mes plantes à travers mes sirops.

Mes flacons contiennent 250 ml de potion.

Vous pouvez retrouver les dernières actualités de Gaelle sur son compte instagram : https://www.instagram.com/salsepareilleofficiel/

Salsepareille


Gaëlle Mathieu est née sous les pommiers de Normandie même si elle a fait ses classes en Algérie, comme dirait son père. Pendant une enfance normale et heureuse de nomadisme dans toute la France, elle découvre le monde merveilleux de la faune et la flore à laquelle ses parents la soumette à travers leurs résidences chaque fois un peu plus reculées dans les terres du Sud-Ouest.


Les études lui semblent vite pesantes car elle désire voler de ses propres ailes afin de découvrir le reste du monde. Après une Seconde à traîner dans les bars, elle se dit que l’herbe doit être plus verte en Angleterre et décide donc d’y poser ses valises le temps d’apprendre 3 mots d’anglais en tant que jeune fille au pair, de refaire une Seconde virtuelle, et de se dire que l’apprentissage des langues étrangères ; c’est bien sa « cup of tea ».


Elle embarque alors de nouveau à bord d’un bel avion qui la mène droit à Madrid. Elle se dit que décidément les voyages et le soleil font la paire. Elle continue le CNED, les enfants à garder et puis elle repartira ensuite...ou pas tout de suite.


L’Espagne a plein de belles choses à apporter, alors elle décide d’y rester un peu plus ; et à 19 ans, avec un demi bac en poche, elle pense qu’il est temps d’arrêter les gardes d’enfants et de passer aux choses sérieuses. Elle entreprend de faire une école de Traductrice car son espagnol s’est bien amélioré durant ces 2 premières années quand une boutique de vêtements espagnol lui offre son 1er contrat de travail et les papiers qui vont avec.


Ça lui donne des ailes !… Tant et si bien que 4 ans après, elle réalise son rêve : être payée pour découvrir le monde. Embarquement, débarquement, découverte… voilà le quotidien de sa nouvelle vie d’hôtesse de l’air durant les 13 prochaines années. Jusqu’à ce que le dernier Airbus de sa compagnie ferme ses portes et replie ses ailes à tout jamais, alors la mort dans l’âme elle prend le temps de penser…


Que faire à présent ? Elle continue ses missions de traductrice qu’elle n’a jamais vraiment laissé de côté, mais l’inspiration n’y est plus… Il est temps, après 20 merveilleuses années, de retrouver la terre qui l’a vue naître. Une offre inespérée se présente à elle : s’occuper de clients étrangers dans le monde de l’aviation, toujours et encore, dans la région Marseillaise, tout à côté de sa meilleure amie. Il ne faut pas 2 jours de réflexion pour que ses 20 années madrilènes rentrent dans une trentaine de valises et la voici tout fraîchement débarquée sur les terres chaudes de Marseille.


4 années passent encore, la mission de rêve s’achève et entre 2 autres passages furtifs dans les entreprises du coin, elle finit au 17ème étage d’une tour de cristal donnant sur la mer. Et c’est là, les yeux dans le bleu sans fond de la méditerranée qu’elle se dit qu’à quoi bon être si proche de l’infini si on ne peut pas le toucher ni le sentir. Alors elle décide de revenir à la source de l’être, du vivant et à ce que lui a enseigné sa mère durant toutes ses jeunes années.


L’inspiration lui vient tout naturellement ; elle aime le vin et le monde qui l’entoure, sans pourtant rien y connaître. Elle se lance alors dans une formation de « Viticulture et Oenologie en biodynamie ». Enfin ! Elle se sent en accord avec elle même, elle retrouve tout naturellement les bases d’un enseignement parental « hippie », pourtant considéré comme marginal dans les années 80, et qui, aujourd’hui, est éclatant de sens pour le devenir des jeunes générations et de la politique actuelle.


Son mémoire s’intitulera « Comment remplacer le soufre par les plantes». Elle s’essaye à mettre en pratique sa théorie, et oui, soigner la vigne par les plantes est possible et le résultat probant ! Eric Petiot, grand « maître» de cette théorie lui donne une formation afin d’approfondir les possibles.


Ce bel univers de « simples » lui donne envie d’aller plus loin, et de ciste cotonneux en chêne kermesse, elle se pose dans la garrigue et s’installe en tant que Cueilleuse de plantes sauvages. Soigner les plantes par les plantes est possible mais soigner les personnes par les plantes est évident, même si la loi est contraignante et plutôt injuste.


Encore un nouveau virage et elle entreprend de cueillir, sécher et émonder les plantes des collines environnantes. Un nouvel univers se crée et aura pour nom SALSEPAREILLE parce que cette plante grimpante et tenace l’intrigue. Elle la rencontre partout dans la garrigue et se dit qu’un jour elle trouvera une façon d’en extraire toutes les vertus, apparemment extraordinaires.


Quelques schtroumpheries plus tard, elle nage de bonheur au milieu des collines odorantes de romarin et de thym en fleurs, écoute et s’instruit avec Christophe Bernard avant d’élaborer son prochain projet. L’idée prend forme dans sa tête ; des sirops de plantes verront le jour quelques longs mois plus tard.


En honneur aux druidesses longtemps craintes et détestées, elle leur donne le nom de : LA POTION. Car un peu de magie souffle toujours dans les collines et que les bienfaits de ses potions relèvent des propriétés des plantes mais pas que...


Déjà plein d’autres projets foisonnent dans sa tête et son cœur car des plantes bienfaitrices il y en a partout. Pas besoin d’aller en Chine ou dans les Alpes… les plantes locales sont pleines de promesses. Les façons de les transformer sont nombreuses, alors quel sera le quid des prochaines étapes de cette magie qui l’entoure, encore un peu et toujours ?


 

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